Syndicalistes : A bas les sanctions injustes !
L’amnistie des syndicalistes,toute la gauche doit se rassembler, pour la gagner.
Face aux plans sociaux qui se succèdent, face aux attaques que subissent les salariés dans les entreprises, dans les services publics, face aux politiques de casse sociale, notamment celles menées par Nicolas Sarkozy pendant cinq ans, nombre d’hommes et de femmes ont décidé de réagir, de faire respecter leur droits, de préserver nos emplois, nos libertés. Alors qu’ils défendaient l’intérêt général, nombre d’entre eux ont fait l’objet de sanctions pénales, disciplinaires et de licenciements. Un véritable déni de démocratie !
Ces sanctions n’ont qu’un but : faire taire celles et ceux qui dérangent, éteindre toute contestation, au mépris de ce droit fondamental qu’est l’action collective, garantie d’ailleurs par la constitution.
Les criminels, ce sont ceux qui délocalisent
M. Valls cherche-t-il la provocation ? Il met en accusation les salariés en luttes et envoie la police. Cherche-t-il à son tour à criminaliser l’action syndicale, à casser les résistances des salariés devant le comportement scandaleux des patrons ? Roule-t-il pour le MEDEF ?
« Les accuser de vouloir casser l’outil de travail alors qu’ils sont précisément en train de le défendre contre ceux qui veulent fermer les usines, c’est parfaitement scandaleux, ça me choque profondément« , s’indigne P. Laurent (PCF).
Non, défendre son école, son outil de travail, son hôpital, sa retraite, ce n’est pas être un délinquant. Les délinquants, ce sont ceux qui déménagent les usines, ceux qui mettent leur magot à l’abri du fisc aux Îles Caïmans ou ailleurs.
Les délinquants, ce sont ceux qui licencient pour accroître encore leurs profits.
Vite, une loi d’amnistie !La gauche ne doit pas laisser tomber celles et ceux qui tiennent la tranchée de la lutte pour le bien commun. Quand on est de gauche, on commence par voter une loi d’amnistie. Qu’attend le gouvernement pour envoyer ce vrai signe de changement ?
Les députés et les sénateurs du Front de gauche portent une proposition de loi d’amnistie des syndicalistes et salarié-es poursuivis. Elle sera proposée au Sénat le 27 février prochain. La gauche doit la voter !
Portez cette exigence avec des millions d’autres salariés en signant la pétition !
TOUS au RASSEMBLEMENT mercredi 27 février à 14h30 devant le Sénat (Métro Luxembourg) à l’occasion de l’examen de la loi d’amnistie sociale déposée par les sénateurs et sénatrices communistes.
La proposition de loi du Front de gauche
Ces sanctions n’ont qu’un but : faire taire celles et ceux qui dérangent, éteindre toute contestation, au mépris de ce droit fondamental qu’est l’action collective, garantie d’ailleurs par la constitution.
Les criminels, ce sont ceux qui délocalisent
M. Valls cherche-t-il la provocation ? Il met en accusation les salariés en luttes et envoie la police. Cherche-t-il à son tour à criminaliser l’action syndicale, à casser les résistances des salariés devant le comportement scandaleux des patrons ? Roule-t-il pour le MEDEF ?
« Les accuser de vouloir casser l’outil de travail alors qu’ils sont précisément en train de le défendre contre ceux qui veulent fermer les usines, c’est parfaitement scandaleux, ça me choque profondément« , s’indigne P. Laurent (PCF).
Non, défendre son école, son outil de travail, son hôpital, sa retraite, ce n’est pas être un délinquant. Les délinquants, ce sont ceux qui déménagent les usines, ceux qui mettent leur magot à l’abri du fisc aux Îles Caïmans ou ailleurs.
Les délinquants, ce sont ceux qui licencient pour accroître encore leurs profits.
Vite, une loi d’amnistie !La gauche ne doit pas laisser tomber celles et ceux qui tiennent la tranchée de la lutte pour le bien commun. Quand on est de gauche, on commence par voter une loi d’amnistie. Qu’attend le gouvernement pour envoyer ce vrai signe de changement ?
Les députés et les sénateurs du Front de gauche portent une proposition de loi d’amnistie des syndicalistes et salarié-es poursuivis. Elle sera proposée au Sénat le 27 février prochain. La gauche doit la voter !
Portez cette exigence avec des millions d’autres salariés en signant la pétition !
TOUS au RASSEMBLEMENT mercredi 27 février à 14h30 devant le Sénat (Métro Luxembourg) à l’occasion de l’examen de la loi d’amnistie sociale déposée par les sénateurs et sénatrices communistes.
La proposition de loi du Front de gauche
- Arrêt des poursuites en cours en relation avec les mouvements sociaux et l’activité syndicale et revendicative ainsi que ceux commis dans le cadre de conflits relatifs aux problèmes d’éducation, de logement, de santé et d’environnement.
- Extension des bénéfices de l’amnistie à tous les salariés encourant des sanctions et non aux seuls syndicalistes.
- Réintégration, lorsqu’elle est possible, des personnes ayant fait l’objet d’un licenciement en considération des faits amnistiés
- Retrait des empreintes génétiques des fichiers de police et amnistie du délit relatif au refus de prélèvement d’ADN
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