samedi 31 décembre 2016
mercredi 21 décembre 2016
" Austérité, 49.3, déchéance de nationalité, Claude Bartolone dans les pas de Manuel Valls !
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Article :
lundi 19 décembre 2016
Dénomination de la station de métro à Romainville (Marie-Lise Descamps)
Les citoyens Romainvillois sont consultés. Oui !!! alors profitons en !!
Sur l'entrée de la Mairie un beau placard: ''Donnez votre avis''
Comment voulez vous que soit nommée notre future station de métro :
- ROMAINVILLE CARNOT
- PLACE CARNOT ROMAINVILLE
- ROMAINVILLE PLACE CARNOT
C'est pas de la consultation ça ?
Je propose de nommer la Station : Pierre Kerautret
C'est une partie de l'Histoire de notre ville.
Avec l’élection, en mai 1935, de la liste présentée par le Parti communiste et qu’il conduisait, une page importante de l’histoire de notre ville s’est écrite. Celle d’une rupture avec les dégâts causés par l’incurie de la municipalité de droite qui a régné de 1909 à 1934.
Celle de la construction d’une ville où l’humain sera au cœur de toutes les politiques.
Rejoignez-moi !
Amicalement à tous.
Marie-Lise Descamps
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Article :
vendredi 16 décembre 2016
EN 2017 ON VOTE !
Inscription sur les listes électorales avant le 31 décembre
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Libellés : Tract
Article :jeudi 15 décembre 2016
" Bref instantané d'une jeunesse Européenne" par Mikaël Flahaut
Quelle pourrait-elle être ? Celle d'une Europe et d'un peuple européen
qui par exemple se lève quant à Breslau le théâtre Polski se voit mettre à sa
tête un directeur plus prompt à museler la programmation au profit du conservatisme
réactionnaire de l'actuel gouvernement dont il est proche qu'à défendre la
liberté d'expression, de création et d'ouverture qui fut toujours la force de
ce vivier artistique. Mais qu'aurait-il pu se passer si en protestation et par
solidarité la Comédie française, le Théâtre
National Populaire de Villeurbanne, le Teatro Real à Madrid, le Trafó à
Budapest et bien d'autres s'étaient mis en grève par solidarité ?
Un
de mes amis polonais prenait part aux manifestations à Breslau au lendemain de
l'annonce alors qu'il y travaillait comme assistant à la mise en scène. Il
était à Paris il y a quelques mois avec un autre ami espagnol tous deux venus
me rendre visite. Deux amis rencontrés alors que nous étions tous les trois
volontaires européens il y a deux ans à Vilnius en Lituanie. A cette occasion
nous échangeâmes sur la Pologne que nous connaissions tous trois, sur Podemos
en Espagne et la situation de l'emploi pour les jeunes. De la France, des
mouvements sociaux autour de la loi El-Khomri et des prochaines élections alors
qu'eux aussi suivaient l'actualité de notre pays.
Cela
nous mena à cette conclusion simple et un peu effrayante : celle que ce qui se
jouait dans chacun de nos trois pays avait des trames bien différentes mais une
réalité identique. En d'autres mots : un passé personnel mais un futur commun.
Que nos destins et aspirations ainsi que les obstacles qui s'y opposent étaient
analogues. Une idée aussi simple que celle que notre salut dépasse bien celui
des frontières : frontières dont nous avons hérités de l'histoire. Nous ne les
avons pas décidés je ne pense pas qu'il faille néanmoins les détruire purement
et simplement, ça serait une fois de plus se tromper de combat. Mais qu'il faut
continuer de les traverser, encore et encore et surtout s'acharner à ce
qu'elles ne puissent jamais plus se refermer.
Cette
idée ne venait pas de germer, en mai 2014 nous étions dans un parc à Vilnius
savourant le retour discret des beaux jours avec une tripotée d'autres volontaires
européens quand le résultat des législatives européennes est tombé. La plupart
d'entre nous furent glacés d'en prendre connaissance. Nous primes rapidement
conscience de deux choses : la première, instantanée, fut de réaliser que notre
présence ici était bien le fruit de cette union politique et sociale, la
deuxième que fragile un spectre sordide était en train de l'habiller doucement
et qu'il pourrait de plus que ce que nous vivions là-bas ne soit pas à la
portée des générations qui nous succéderont.
Ce
jour de septembre 2016 un polonais, un espagnol et un français, assis au bord
du canal de l'Ourcq à Paris réalisaient amèrement que ce spectre avait pris de
l'ampleur. Que bon gré mal gré nous étions dans le même bateau. Alors comment
le faire avancer dans le bon sens ? Par comprendre et faire comprendre que ce
qui se passe à Rome impliquera forcement Vienne, que les enjeux écologiques ne
s'arrêtent pas aux frontières, qu'il est impossible de rester indifférents aux
sorts de nos plus proches voisins et ainsi de suite. Qu'il est peut-être
rassurant mais vain de penser que le repli sur soi viendra résoudre nos
problèmes et angoisses. Nous avons des clés en main et l'histoire nous a déjà
montré où le nationalisme et le populisme nous ont menés. Il faut aller plus
loin que l'union européenne comme moteur économique et politique, tout comme
celui-ci nous assure une force économique et diplomatique face aux autres
grands du monde, c'est une union des peuples au sein de l'Europe avec grand E
et non simplement de l'union qui nous permettra de créer une Europe des
Peuples, une Europe Sociale.
Cela
peut commencer tout de suite par s'intéressant réellement aux législatives,
européennes, souvent peu médiatisées, et y exercer son droit de vote. C'est
aussi prendre part aux projets culturels et humanistes qui existent mais dont
une fois de plus on n'entend pas assez parlé. J'étais au 20ans du service
volontaire européen qui s'est tenu à Montreuil les 22 et 23 septembre derniers
réuni avec d'autres européens de ma génération et d'autres. Les débats qui
devaient viser à améliorer de par nos expériences le programme ont tournés pour
certains auxquels j'ai pris part sur un questionnement politique plus large, là
encore le constat était le même : comment faire ensemble ? Emphaser ce genre
d'initiatives nous ait tous apparu comme une nécessité tant les externalités
socio - professionnelles sont grandes. Faut-il encore les mettre en avant,
alors qu'en Allemagne ce genre de programme est proposé au lycée avant de
passer l'Abitur (équivalent de notre Baccalauréat ndlr), il est dans d'autres pays plutôt inconnu. En France la
vedette est souvent volée par les programmes d'échanges universitaires, tout
aussi important pour y avoir également participé. Ce sont des moteurs pour se construire
ensemble, en se rencontrant on apprend à se connaitre et à se respecter, et
c'est à travers le respect qu'on avance.
Je
défends l'idée que notre génération ne pourra espérer mieux qu'à travers un
vivre ensemble européen, alors que des études nous montrent que nous sommes la
première génération à vivre moins bien que celle de nos parents. Pour se battre
ensemble contre la finance qui elle est bien organisée et unie, au niveau
européen comme à une plus large échelle. Avec l'union européenne donc mais pas
que, car celle-ci n'est premièrement pas irréprochable mais surtout car
l'Europe dépasse bel et bien les états membres. La jeunesse des balkans, la
jeunesse turque, ou ukrainienne pour ne citer que celles-ci partagent nos mêmes
espoirs. Pourtant pour eux l'accès à l'espace Schengen a un prix, un prix qui
peut-être prohibitif (de 35 à 99euros). J'étais en juin dernier à Marseille
avec des amis rencontrés au Kosovo : des natifs mais aussi des britanniques,
des français. Des kosovars néanmoins deux seules ont pu faire le déplacement.
Les autres n'ont pu s'offrir le visa ou ceux-ci leurs ont été refusés. Pourtant
nous nous retrouvions ici pour une chose simple et belle qu'est sensé être
l'euro de football où l'Albanie, largement supporter par le peuple de ce petit
état des Balkans, était qualifié pour la première fois. Pour un évènement
sportif qui dans son éthique se doit de prôner le fair-play et le vivre
ensemble tout le monde n'était pas invité.
Publié par PCF Romainville à 23:12 1 commentaires
Libellés : Article
Article :Utilisation de la cour de l'école Casanova pendant les vacances scolaires : "Les parents disent non !
Publié par PCF Romainville à 11:44 0 commentaires
Libellés : Article
Article :mardi 6 décembre 2016
Claude Bartolone et Corinne Valls : " Des promesses à la réalité " !
Publié par PCF Romainville à 10:45 0 commentaires
Libellés : Article
Article :" Victoire pour la ferme de Romainville grâce à la lutte victorieuse de l'Association de Sauvegarde du Village de Romainville
L’Association de sauvegarde du village de Romainville (ASVR) vient d’obtenir gain de cause dans la négociation engagée avec un promoteur immobilier, pour la préservation d’une ferme du xixe siècle promise à la démolition
C’est au milieu du xixe siècle que le caractère rural du village de Romainville va commencer à se transformer avec l’arrivée des activités industrielles liées à l’exploitation du gypse, la volonté d’installer loin de Paris des activités indésirables comme le traitement des déchets, puis l’implantation d’industries chimiques et pharmaceutiques tel RousselUclaf. Le xxe siècle amènera ainsi les premiers grands ensembles immobiliers avant que ne s’engagent une boulimie de constructions tout autour du vieux village et un grignotage progressif du centre historique au gré de modifications permanentes du PLU de 2009. C’est dans cet espace encore privilégié de ruelles calmes, révélant âme et histoire de la ville, que l’association et les riverains se sont attachés à un combat permettant d’améliorer un projet immobilier destructeur. Un cadre urbain à préserver La ferme de Romainville se compose de deux ensembles distincts de bâtiments, autour d’une cour pavée. Sur rue, deux maisons en meulière encadrent un porche monumental, la cour est entourée de deux bâtiments bas en brique, le premier s’apparentant à une longère de plain-pied, le second étant un préau ouvert en rez-de-chaussée et surmonté d’un étage. Sous ce préau, on nettoyait et conditionnait les fruits et légumes destinés à la vente, l’étage permettait leur stockage. Ce magnifique complexe architectural est l’un des derniers vestiges de l’activité agricole et maraîchère qui animait, jusqu’aux années 1960, le village ancien de Romainville. Après le départ des derniers propriétaires, les Nouveaux Constructeurs achètent la parcelle et déposent une demande de permis de construire impliquant la destruction totale de l’ensemble bâti. Alors que la municipalité ne se manifeste pas pour protéger ce joyau, l’ASVR et les riverains se lancent dans une opération de sauvegarde. Une négociation à l’initiative des habitants En juin 2014, sous la pression de cette mobilisation, la municipalité n’accorde finalement pas le permis de construire et dit vouloir conserver la ferme. Un premier projet rectificatif du promoteur est rejeté par les habitants. Mais, en janvier 2016, le promoteur et son architecte, après une grande implication de l’Architecte des bâtiments de France, présentent un dernier projet qui réhabilite la cour et la totalité des quatre bâtiments ; ce projet est agréé par l’association et les riverains sous réserve de quelques modifications. Ce bel exemple de sauvegarde d’un patrimoine exemplaire, fruit d’un travail au long cours, souligne ici l’importance de tisser sur nos territoires malmenés des liens étroits entre les habitants et les associations et un dialogue avec élus et promoteurs immobiliers. Vigilance et mobilisation en sont les premiers leviers.
ASVR asvr93230.blogspot.fr/
Association de sauvegarde du village de Romainville (ASVR) Préserver et conserver l’authenticité du style des constructions du secteur, tant au plan visuel qu’architectural et patrimonial de l’ensemble du « Vieux Romainville » et préserver le cadre de vie de ses habitants. Informer, sensibiliser et mobiliser nos concitoyens, pétitionner pour la sauvegarde de notre patrimoine, participer aux journées européennes du patrimoine pour mettre en valeur notre centre-ville.
Publié par PCF Romainville à 07:00 0 commentaires
Libellés : Article
Article :dimanche 27 novembre 2016
" L'électrochoc" de Claude Bartolone
Publié par PCF Romainville à 17:40 0 commentaires
Libellés : Article
Article :jeudi 10 novembre 2016
Conseil municipal du 9 novembre : Intervention de Sofia Dauvergne sur le renforcement des équipes de la police nationale
Intervention Sofia DAUVERGNE, au nom du groupe Front de Gauche/Romainville-Ensemble sur le voeu concernant renforcement des équipes de Police Nationale
Nous prenons connaissance du vœu commun des villes de Bagnolet, du Pré-Saint Gervais, des Lilas et de Romainville pour rappeler que la priorité doit être donnée au renforcement des équipes de Police Nationale , de bénéficier du remplacement des fonctionnaires mutés et d'attendre le retour à l'équilibre des effectifs du commissariat d'ici à la fin de l'année 2016.
Comment ne pas être d'accord sur le constat et l'urgente nécessité que l’État réaffirme son rôle régalien en la matière. La sûreté des citoyens passe par des moyens humains et financiers supplémentaires donnés à la Police, à la gendarmerie, ainsi qu'à la Justice.
Et le constat est là, cela fait bientôt 10 ans qu’à Romainville on tente de répondre aux problèmes d'insécurité par la création de dispositifs nouveaux sans amélioration réelle, palliant ainsi à la déficience de l’Etat dans ce domaine : création de la police municipale en 2009, Création d'une brigade de nuit en 2011, qu’en est-il de leur action ? Depuis 2013 mise en place d'un plan pluriannuel d'investissement pour la vidéo surveillance qui atteint en 2016 près d'un million d'euros de dépenses. Par contre on notera la présentation au conseil municipal du 21 septembre dernier du plan de stratégie territoriale, de sécurité et de prévention de la délinquance afin de préparer le Comité Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CLSPD) qui devrait avoir pour objectif de mettre la prévention et la proximité au cœur des actions.
Les gouvernements se succèdent et au nom de la baisse des déficits et de la dette on sacrifie toujours le service public et aussi celui de la police nationale.
Le mécontentement et le malaise grandissent dans la population mais également chez les policiers. Ils n'hésitent pas à manifester pour exprimer leur colère et leur épuisement, pour le respect des conventions collectives, le respect des rémunérations, le respect de leur métier, le développement du service public national de Police.
Ils expriment un épuisement qui trouve ses sources dans le rythme terrible qui est imposé aux effectifs de Police depuis les attentats du 7 janvier à Charlie Hebdo et qui s’est vu renforcé depuis le 13 novembre et le 14 juillet. Congés reportés, mobilisation permanente, heures supplémentaires sont devenus le quotidien de la Police Nationale.
A cette pression accrue est venue s’ajouter des dysfonctionnements déjà existants, rendant la situation insupportable. Il est demandé beaucoup aux policiers et plus encore depuis que nous sommes sous le régime d'état d'urgence. Ils doivent être exemplaires en toute occasion et remplir leurs missions dans le respect des lois et principes de notre République.
Ensuite, nous devons aussi dénoncer la règle qui détermine leurs actions depuis le passage de Nicolas Sarkozy à l’intérieur : celle du chiffre.
La logique de rentabilité capitaliste qui s’applique depuis lors est en train de détruire, de dévoyer le rôle du service public de la Police nationale. Elle vide de son sens le métier, brise les vocations et donne de l’importance à des actions qui sont rentables pour les statistiques mais peu pour la sécurité des citoyens.
C’est le cas des contrôles d’identité systématiques, des contrôles routiers inopinés ou encore des îlotages sans but précis. Certes, ils permettent souvent de faire coup double pour les statistiques avec une infraction constatée et une verbalisation immédiate entrant dans la colonne « faits résolus sans trop de temps », mais cela détourne de nombreux policiers de tâches plus importantes ou de la proximité avec les habitant-es.
De plus la baisse de 23 000 policiers, la suppression d'écoles de police et de la police de proximité sous le gouvernement de droite a été une erreur gravissime, difficile, semble-t-il, à rattraper !
Aussi, le rapport général sur les moyens de la police nationale examiné au sénat le 19 novembre 2015 dans le cadre de la loi de finance 2016 soulève la paupérisation des forces de sécurité qui ne disposent plus des moyens nécessaires pour assurer leurs missions, la hausse de la délinquance , les tensions sur les dépenses de fonctionnement, les problèmes d'équipements, et ce n'est pas l'annonce d'une augmentation de 0,9% et d’effectifs supplémentaires qui ont répondu à l'urgence.
Un an après, les effectifs ont été prioritairement affectés à la lutte contre le terrorisme et les crédits au financement plan "migrants".
La police de proximité n’a pas été restaurée et la culture du chiffre pas remise en cause.
Nous avons besoin d’une autre police. Cette crise doit être l’occasion de prendre le virage de la proximité, du sens du métier, du retour au service public auquel les citoyennes et citoyens de ce pays ont droit.
Pour cela il nous faut exiger :
De rétablir la police de proximité en y apportant certaines adaptations tirées de l'expérience passée, se rappeler tout l'intérêt du travail de l'îlotage. C’est le seul moyen de renouer le dialogue entre les policiers et la population, de contribuer à apaiser les tensions et retisser le lien social.
De recruter de nouveau des médiateurs pour favoriser écoute et concertation et impulser des dispositifs permettant de renouer le lien entre tous les acteurs d’un quartier, les jeunes notamment.
De remettre en place des échanges avec les associations de locataires, sportives et culturelles et tous les élus. A l’instar de l’initiative prise par le maire des Lilas (Voir édito journal municipal nov 2016) suit au drame survenu sente de la ferme en face de la cité Y. Gagarine.
De Revoir la répartition des effectifs de police sur le territoire qui est inchangée depuis 50 ans !
D’arrêter la culture du chiffre, cette politique du rendement axée sur la seule répression- dangereuse pour tous et qui fait peser sur les forces de l'ordre une forte pression hiérarchique
D’exiger la construction d'un commissariat de plein exercice à Romainville
De débloquer des moyens humains et financiers conséquents pour un service public de police nationale répondant aux attentes de nos concitoyens
Sans oublier que les Romainvillois ont besoin également d’accéder à un logement abordable; de soins, de services publics de proximité, d'éducation, de loisirs, de lutte contre les discriminations, de police de proximité, bref tout ce qui est susceptible de reconstituer le lien social, afin que le « vivre ensemble » soit plus que des mots.
Tel est le prix à payer pour enrayer la spirale de la violence et de l'insécurité engendrées par le fonctionnement même de notre société.
Comme vous pouvez le constater nous avons également des propositions à formuler pour nous assurer du renforcement des équipes de Police Nationale sur le territoire de Romainville.
Nous n'allons pas présenter, comme vous vous le faites d'habitude, un contre vœu ou même des amendements, puisque de toute manière vous ne les voteriez pas.
Alors, comme nous partageons la nécessite d'affecter des moyens supplémentaires à la circonscription de police des Lilas, nous nous associerons à ce vœu.
Publié par PCF Romainville à 20:41 0 commentaires
Libellés : Intervention
Article :Conseil municipal du 9 novembre : Intervention de Brigitte Moranne sur le contrat local de santé
Publié par PCF Romainville à 18:24 0 commentaires
Libellés : Intervention
Article :mardi 25 octobre 2016
" Elections législatives " : l'heure du bilan !
- De faire de l’éducation et de la jeunesse une priorité.
- D’encadrer le prix des loyers.
- De mettre en place une caution solidaire pour permettre aux jeunes d’accéder à la location.
- De défendre le pouvoir d’achat, de supprimer la TVA Sarkozy
- D’adopter une tarification progressive de l’eau, du gaz et de l’électricité.
- De combattre le chômage
- De réformer justement les retraites
- De renégocier le traité européen d’austérité pour privilégier la croissance et l’emploi.
- De créer 1000 postes par an dans la police, la gendarmerie et la justice
- De rétablir la police de proximité.
- D’assurer l’égalité salariale entre femmes et hommes
- D’engager les futurs projets d’aménagement de notre territoire dans le respect de tous et en concertation.
- De renforcer l’hôpital public
- De reconstruire la maternité des Lilas sur son site.
- Signé en mars par Nicolas Sarkozy, François Hollande signait à son tour, en juin le traité européen et le faisait approuver par l’Assemblée nationale, alors que s’imposait la voie référendaire.
- En Seine-Saint Denis le chômage est passé de 11,7% en 2012 à 13% en cette fin d’année 2016.
- En matière d’éducation, si le gouvernement affirme que les 60.000 postes d’enseignants ont été créés. Cependant, près de la moitié des nouveaux moyens (26.000) sont en réalité des postes de stagiaires.
- La pression fiscale s’est faire durement sentir durant ce quinquennat. 43, 9 milliards d’euros sur les ménages, alors que les entreprises ont bénéficié de 11,1 milliards d’euros d’allègement
- Au nom de l’emploi 45 milliards ont été distribués, alors qu’il a été annoncé récemment qu’au mieux cela aura permis de sauvegarder ou de créer 100 à 150.000 emplois.
- Après avoir supprimé la « TVA Sarkozy », une hausse de la TVA était décidée par le parlement en 2014. Pire François Hollande déclarait en 2015 : « Si c’était à refaire, je ne serais pas allé aussi loin, j’aurais gardé l’augmentation de la TVA décidée par Nicolas Sarkozy ».
- À compter de juillet 2015, les allocations familiales ont été divisées par deux voire par quatre pour les parents de deux enfants, battant en brèche leur universalité.
- Le plafond du quotient familial est passé de 2336 euros à 1500 en 2014, occasionnant des hausses d’impôt très importantes pour les familles concernées.
- Il en est de même pour les retraités avec la suppression de l’abattement de 10% pour ceux ayant élevé 3 enfants et plus. Ce sont des centaines de milliers de retraités qui du même coup sont devenus imposables.
- Décidée en 2008, la suppression progressive de la demi-part de quotient familial accordée aux parents isolés (dite demi-part des veuves) destinés aussi bien aux parents veufs que divorcé(e)s ou célibataires ; est devenue pleinement effective en 2014.
- la loi santé, plutôt que de réaffirmer la place et le rôle de l’hôpital public indique clairement que c’est vers l’effacement des frontières entre clinique privée et hôpital public d’une part et l’affaiblissement de l’hôpital public d’autre part que l’on s’est dirigé. Avec la suppression programmée de quelques 23.000 postes d’agents hospitaliers ;
- Le président de la République et sa majorité s’y étaient engagés, le quinquennat devait être marqué par la création de 9000 postes de policiers et gendarmes. Un chiffre loin de la réalité puisque selon les calculs de la cour des comptes seuls 390 emplois ont été créés de 2012 à 2015. Et qu’est devenu le rétablissement de la police de proximité ?
- En août 2014, était abandonnée, la création d’une garantie universelle des loyers qui aurait permis à beaucoup de jeunes qui ne peuvent pas présenter de caution de louer plus facilement dans le parc privé. Quant au plafonnement des loyers il se limite à Paris intra-muros.
- Le droit à la retraite, parlons-en. Avec la loi de janvier 2014, la durée de cotisation pour toucher une retraite à taux plein, dès lors que l’on atteint l’âge légal, est progressivement allongée (pour la génération de 1958 et les suivantes) jusqu’à 43 ans, soit 172 trimestres.
- Les rémunérations des fonctionnaires bloquées depuis 5 ans, comme celles des retraites.
Publié par PCF Romainville à 20:33 0 commentaires
Article :
jeudi 6 octobre 2016
Métro à Romainville, une photo qui date de 1980 !
C’était il y a 36 ans (le 30 Mai 1980) et nous luttions pour l’arrivée de ce métro, réclamé depuis plus de 80 ans et qui avait failli arriver en 1935.
Publié par PCF Romainville à 19:49 0 commentaires
Libellés : Information
Article :Communiqué de l'Association pour la sauvegarde du village de Romainville
OBSERVATIONS SUR L'AVIS D'ENQUÊTE POUR LE DÉCLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC BOULEVARD ÉMILE GENEVOIX ET DE DÉPENDANCES
C'est donc ici, incontestablement, la disparition d'une partie de l'espace public de notre ville, au seul profit d'un intérêt privé !
Vu la densification urbaine en cours sur notre territoire, nous pensons au contraire qu'il est vital et urgent de conserver la totalité de la place dans sa forme aérée et triangulaire afin de maintenir à Romainville, un cadre de vie agréable !
Il nous semble évident que le déclassement de cette partie du boulevard Émile Genevoix, va nuire considérablement à l'identité visuelle et mémorielle de notre commune !
Ce morcellement de la voirie fait naître beaucoup d'interrogations. Y a-t-il un plan global et cohérent du développement des transports en commun et des circulations lourdes et douces à l'échelle de notre commune et des communes voisines ?
Dans ces conditions, nous doutons fortement de la valeur et de la qualité de cette enquête à minima publique, et en conclusion de toutes les observations mentionnées ci-dessus, nous demandons le rejet du déclassement de cette partie du boulevard Émile Genevoix.
Publié par PCF Romainville à 14:07 0 commentaires
Libellés : Communiqué
Article :jeudi 29 septembre 2016
NE LAISSONS PAS FAIRE !
Publié par PCF Romainville à 11:54 0 commentaires
Libellés : Information
Article :