Un budget 2014 catastrophe pour les communes
Le projet de budget de l’Etat 2014 présenté le 25 septembre en Conseil des ministres poursuit un bien sombre scenario pour l’avenir des collectivités territoriales, avec notamment l’annonce de la réduction d’1,5 milliards des concours de l’Etat au secteur public local.
Si le gouvernement ne revenait pas sur une telle mesure, ce serait un nouveau coup porté dans les prochains mois aux services publics de proximité, à la solidarité et à l’investissement public créateur d’emplois puisque les collectivités territoriales réalisent 75 % de l’investissement public dans notre pays.
Nous voulons que les communes disposent des ressources nécessaires pour continuer à impulser des politiques innovantes et ambitieuses en matière de solidarité, d’éducation, de petite enfance, de culture, de formation, de logement, de transport, de développement économique, pour répondre aux besoins et aux attentes de tous ses habitants.
Dans un contexte de constante aggravation des difficultés en cette période de crise, nous ne nous résignons pas à la généralisation de l’austérité et à la dégradation continue des difficultés pour nous mêmes et nos enfants.
Comme André Chassaigne et les parlementaires du PCF-Front de gauche, nous estimons que ce projet de budget ne peut être voté en l’état.
Il doit être fortement revisité pour tourner le dos aux logiques austéritaires, incompatibles avec une politique de gauche. Des solutions alternatives existent pour accroitre les ressources de l’Etat sans pénaliser une nouvelle fois le service public, celles et ceux qui vivent ou aimeraient vivre décemment de leur travail et pour ouvrir les portes à un retour de la croissance.
Au lieu d’augmenter la TVA et la fiscalité sur les ménages en créant une situation nouvelle pour près d’un million et demi de personnes jusque là non imposables, nous proposons d’élargir le barème de l’impôt à 14 tranches, et de s’attaquer à la finance en mettant fin au dispositif du crédit d’impôt compétitivité emploi qui offre 20 milliards d’euros aux grosses entreprises et dont l’effet sur la création d’emplois n’est aucunement avéré. Nous proposons de taxer les actifs financiers des entreprises.
Le budget 2014 de l’Etat a besoin de nouvelles recettes et non de réduire sur les services publics locaux.
Si le gouvernement ne revenait pas sur une telle mesure, ce serait un nouveau coup porté dans les prochains mois aux services publics de proximité, à la solidarité et à l’investissement public créateur d’emplois puisque les collectivités territoriales réalisent 75 % de l’investissement public dans notre pays.
Nous voulons que les communes disposent des ressources nécessaires pour continuer à impulser des politiques innovantes et ambitieuses en matière de solidarité, d’éducation, de petite enfance, de culture, de formation, de logement, de transport, de développement économique, pour répondre aux besoins et aux attentes de tous ses habitants.
Dans un contexte de constante aggravation des difficultés en cette période de crise, nous ne nous résignons pas à la généralisation de l’austérité et à la dégradation continue des difficultés pour nous mêmes et nos enfants.
Comme André Chassaigne et les parlementaires du PCF-Front de gauche, nous estimons que ce projet de budget ne peut être voté en l’état.
Il doit être fortement revisité pour tourner le dos aux logiques austéritaires, incompatibles avec une politique de gauche. Des solutions alternatives existent pour accroitre les ressources de l’Etat sans pénaliser une nouvelle fois le service public, celles et ceux qui vivent ou aimeraient vivre décemment de leur travail et pour ouvrir les portes à un retour de la croissance.
Au lieu d’augmenter la TVA et la fiscalité sur les ménages en créant une situation nouvelle pour près d’un million et demi de personnes jusque là non imposables, nous proposons d’élargir le barème de l’impôt à 14 tranches, et de s’attaquer à la finance en mettant fin au dispositif du crédit d’impôt compétitivité emploi qui offre 20 milliards d’euros aux grosses entreprises et dont l’effet sur la création d’emplois n’est aucunement avéré. Nous proposons de taxer les actifs financiers des entreprises.
Le budget 2014 de l’Etat a besoin de nouvelles recettes et non de réduire sur les services publics locaux.
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