LE BLOG DES COMMUNISTES DE ROMAINVILLE

samedi 30 mai 2009

Un "appel du 29 Mai" pour redonner la parole au peuple

Très peu relayées par les grands médias, les élections européennes, pourraient, si l’on en croît
les études d’opinion, se solder par une abstention record. Quatre ans après le référendum sur le traité constitutionnel, qui avait largement mobilisé, et à une semaine du scrutin du 7 Juin les leaders du Front de gauche lancent un appel (1) pour qu’il « soit mis fin au service minimum électoral et que soit décrétée la mobilisation maximale de tous les moyens de débat public » pour les élections européennes. Voici l’intégralité de ce texte :

« Les élections européennes du 7 Juin prochain sont cruciales pour l’avenir des politiques qui seront menées en France et en Europe. Face à une crise historique du capitalisme mondialisé qui bouleverse toute la planète, ce qui se joue, ce sont les moyens de combattre efficacement les licenciements et tous les dégâts sociaux et écologiques qu’elle engendre. Ce qui est en cause, comme dans une grande élection nationale, c’est le devenir de la vie quotidienne de chacune et de chacun d’entre nous.

« Les conditions de préparation de ces élections ne sont absolument pas à la hauteur de ces enjeux essentiels. Le risque d’élire un Parlement européen avec un taux d’abstention record est sérieux. Or cette abstention n’est pas une fatalité, une calamité naturelle européenne. Il y a des responsabilités et des responsables à cette situation. En premier lieu celles et ceux qui, en organisant ou en justifiant le déni de démocratie qui a consisté à effacer le « non » des Français au référendum de 2005, ont sciemment contourné la souveraineté du suffrage universel. Les mêmes qui aujourd’hui, après avoir organisé le silence sur les élections du 7 Juin, confisquent et étouffent le nécessaire débat démocratique : confrontations tronquées lors des émissions du service public, refus de la plupart des élus sortants de présenter leur bilan au peuple. Une logique que l’on retrouve jusque dans un « clip gouvernemental » censé appeler aux urnes et qui a pour objectif essentiel la publicité de Nicolas Sarkozy.

« Nous refusons d’en rester là. Laisser se dérouler les élections du 7 Juin dans un tel climat d’occultation des enjeux serait un nouveau déni de démocratie. Nous qui, avec le Front de gauche, menons campagne sur le terrain depuis trois mois, arguments et documents à l’appui, en travaillant à l’appropriation populaire et citoyenne des question européennes, nous constatons tous les jours que les électrices et les électeurs de ce pays peuvent se mobiliser et se passionner quand les conditions d’un réel débat sont créées.

« Il y a quatre ans, jour pour jour, le 29 Mai 2005, le référendum sur le traité constitutionnel en avait déjà fait la démonstration. Les Français s’étaient alors prononcés en connaissance de cause et avaient dit non à l’Europe libérale. Est-cela qui fait craindre à certains leur mobilisation électorale ?

« Pour notre part, nous ne craignons ni le débat ni la confrontation. Ils sont même plus souhaitables que jamais pour trouver des solutions à la crise. Nous disons aux électeurs : ce n’est pas le moment de renoncer à s’exprimer. Mais nous disons aussi à celles et ceux qui fuient le débat : cela suffit !

Et puisque tout le monde semble aujourd’hui s’alarmer de la faible mobilisation électorale, nous lançons en ce jour anniversaire du 29 Mai 2005 un appel pour que, dans les jours qui restent d’ici le 7 Juin, il soit mis fin au service minimum électoral et que soit décrétée la mobilisation maximum de tous les moyens de débat public.

« Nous proposons que toutes les antennes radiotélévisées, toutes les colonnes de la presse écrite s’ouvrent enfin à de réels débats pluralistes et contradictoires, que tous les internautes se mobilisent pour démultiplier le nécessaire forum citoyen, que tous les acteurs sociaux, syndicaux, associatifs s’emparent de ce débat dans les formes qu’ils jugeront utiles, que les élus encouragent l’expression populaire dans leurs territoires, que les militants se déploient avec toute leur créativité pour amplifier la campagne engagée. Nous sommes pour notre part totalement disponibles pour favoriser cette confrontation. Une confrontation enfin loyale et transparente, qui rende à l’enjeu européen la dimension démocratique qui lui fait tant défaut. »

( 1 ) Appel signé par :
Marie-George Buffet,
Jean-Luc Mélenchon,
Christian Picquet,
Marie-France Beaufils ,
Hélène Franco,
Jacques Généreux,
Jacky Hénin ,
Patrick Le Hyaric,
Marie- Christine Vergiat.

vendredi 29 mai 2009

Le piège

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Il ya quelques jours ont été distribués dans la cité des tracts de la liste « antisioniste » de Dieudonné.
Nous souhaitons vous alerter sur les fondements de cette liste : sous couvert de défendre les Palestiniens elle entretient un dangereux message de haine et de division des gens entre eux.
Cette liste est un piège : elle est composée d’un conglomérat de militants d’extrême droite, et d’extrémistes religieux de toutes les religions, utilisant des mots et expressions qui nous renvoient aux heures les plus sombres de notre histoire.
Nous tenons à vous rappeler les liens qui unissent Dieudonné et Jean-Marie Le Pen dont ce dernier est le parrain de sa fille, nous vous rappelons également que Dieudonné a fait venir dans son théâtre Robert Faurisson négationniste notoire.

Cette liste est un piège : elle ne fait qu’entretenir la haine de l’autre.
Elle ne propose rien de concret pour nos vies de tous les jours.

Les communistes que nous sommes, issus de toutes origines, vous appellent a porter vos suffrages le 7 juin sur la Liste du Front de Gauche et dont la tête de liste est Patrick le Hyaric directeur du journal l’Humanité seul quotidien national à avoir dénoncé la violence de l’armée israélienne dans la bande de Gaza et a militer en faveur du respect du droit imprescriptible du peuple palestinien à un Etat viable, souverain et démocratique, sur les frontières d'avant juin 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale, à côté de l'Etat d'Israël dans une reconnaissance mutuelle de ces deux Etats et par tous les Etats de la région.

Elire Patrick le Hyaric comme député Européen sera une véritable chance pour répondre aux urgences sociales et sera bien plus utile pour travailler à une paix juste et durable au moyen orient qu’un ramassis d’aventuriers cultivant la haine de son voisin.

Les Communistes de la Cité Gagarine

Europe: Le PSE et le Parti socialiste, c'est la poursuite de la cogestion avec la droite!

Réfléchissons...A lire les affiches du PS, celui-ci voudrait désormais "changer l'Europe" (sic!)...Nous assistons à une belle opération d'enfumage du PS pour tenter de faire oublier que cette Europe que les français refusent, c'est l'enfant monstrueux qu'ils ont enfanté avec la droite européenne.
Les députés socialistes n'ont pas agi jusqu'ici pour changer l'Europe, pourquoi imaginer qu'ils le feraient demain, une fois élus? Leurs députés continueront demain à gérer l'UE avec la droite comme hier. Il suffit de lire le manifeste ( manifesto) qu'ont adopté les socialistes européens...Pour la gauche , pour les milieux populaires, le vote PS est donc le vote inutile par excellence. Les députés PS ne font pas le poids face à la droite européenne : au contraire, ils s'allient avec et votent ses textes !Le 7 juin les français peuvent dire stop ou encore à cette Europe capitaliste. Au leu de dire Stop avec le vote Le Hyaric, chaque vote Ps, UMP ou Modem sera interprété comme encore !

l'analyse du Manifesto du PSE

Le PSE, Parti Socialiste Européen, regroupe en son sein l'ensemble des partis socialistes et sociaux démocrates européens. Il comprend donc des partis dont l'influence politique est hétéroclite. En position de gouverner, parfois même avec la droite, mettant ainsi en œuvre à leur niveau les politiques de démantèlement social ou cantonné -de part leur orientation d'accompagnement du libéralisme- à une opposition muselée, les partis membres du PSE ont élaboré pour les élections du 7 juin un programme commun, adopté en décembre, intitulé Le Manifesto « les citoyens d'abord : un nouveau sens pour l'Europe ».
Il présente dans les grandes lignes, ce que défendront les élus du PSE au Parlement européen, dans toutes ses dimensions, sociales, politiques, économiques...

Les limites d'un exercice d'équilibriste

S'il se place clairement dans le cadre d'une bataille politique avec le PPE et la droite au Parlement, il ne saurait faire oublier que c'est bien ensemble que les politiques de l'UE ont été menées ces dernières années.(Une étude à paraitre de l'Observatoire de l'Europe portant sur l'année 2008 fait apparaître que le groupe du PPE-DE, majoritaire, qui rassemble les partis de centre-droit en Europe (dont l'UMP pour la France) et le groupe PSE (socialistes) ont voté dans le même sens sur 97% des textes (rapports, résolutions) examinés par le Parlement européen.

Surtout, le Manifeste place ses orientations politiques dans une perspective d'alternance politique, dans le cadre en définitive d'une simple régulation des politiques actuellement menées, ne répondant en rien aux enjeux économiques et sociaux de la période.

Soulignant l'avancée que représente le Traité de Lisbonne, les plaçant dans l'acceptation du cadre libéral tel qu'il s'est construit ces dernières années et tel qu'il montre aujourd'hui ses limites, dramatiques pour les salariés, les jeunes, les retraités, pour les sociétés dans leur ensemble en Europe et dans le monde (« C'est pourquoi l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, après ratification par tous les États membres, donnerait à l'Europe plus de moyens pour mener, face à nos problèmes, une action démocratique, transparente et efficace »).

Comment alors oser parler des citoyens d'abord, quand les votes contre le TCE, premier brouillon du Traité de Lisbonne, sont balayés d'un revers de main ?

L'absence de remise en cause du fonctionnement actuel de l'UE, préférant avoir pour perspective la démocratisation des institutions internationales telles l'OMC ou le FMI apparaît complètement déconnecté, à la fois des instruments qui permettraient aux citoyens d'être au centre du processus décisionnel de l'UE mais également des quelques avancées sociales prônées par ce texte.

On ne peut déconnecter le « progrès social » des institutions actuelles et dans ce cadre faire référence à la Charte des droits fondamentaux, dont des droits pour beaucoup de salariés européens. On ne peut déconnecter la revendication de plus de services publics sans la remise en cause du pacte de stabilité et du pouvoir quasi unilatéral de la BCE.

Le Manifesto contient explicitement des mesures libérales et atlantistes
- « il faut parachever le marché intérieur européen - et réduire les formalités imposées aux entreprises »
- « construire un partenariat transatlantique fort »
- « La nouvelle initiative européenne de défense doit être développée en coordination avec l'Otan »
Cet exercice d'équilibriste, au-delà d'effets sur le réel limités sur le moyen et le long terme, prépare au mieux l'alternance mais ne serait en aucun cas représenter l'alternative à laquelle les mobilisations actuelles liées à l'ampleur de la crise du capitalisme financier nous confronte.

Une vision de la crise en trompe l'oeil.

En effet, ce texte amenuise la portée de la crise. Pire, il se félicite de l'engagement de l'Europe à répondre à la crise financière quand des milliards ont été donnés aux banques sans aucun contrôle et que chaque jour aux quatre coins de l'Europe des salariés voient leurs emplois détruits (« L'action concertée des Européens a prouvé son utilité en nous armant face à la crise financière »).
Sur tous les sujets qui fondent les enjeux de la période, écologie, droits des femmes...les propositions du Manifesto sont en deçà de véritable revendications pour la transformation sociale :
- concernant l'immigration, rien n'est écrit sur les sans papiers, seule la lutte contre l'immigration illégale et l'égalité étudiants-européens est affirmée. C'est laisser des milliers de personnes dans un statut de précarité et de peur.

- concernant la défense des droits des femmes, le droit à l'avortement et à la contraception n'apparaissent pas dans ce texte, signe des contradictions qui existent au sein du PSE sur cette question fondamentale du droit des femmes à disposer de leur corps.

- concernant l'OTAN, c'est bien de coordination avec le commandement de l'OTAN qu'il s'agit alors que la situation de tensions internationales démontre l'enjeu de mettre en œuvre une politique de paix.

Le PSE en version française

Le Parti socialiste français converti à l'accompagnement social du libéralisme, dénonçant les dérives néolibérales qui ont amené à la crise, structurent leur campagne autour du rejet de Sarkozy et de sa politique et du rejet de Barroso (actuel Président de la commission, ce qui n'est pas sans faire de remous au sein même du PSE).
Chacun sait d'ailleurs, y compris au PS, qu'un nouvel accord dit « technique » est en préparation entre le PPE et le PSE pour se partager en deux périodes égales de deux ans et demi la présidence de l'Assemblée européenne.

Leur impuissance liée aux derniers revers électoraux et aux messages contradictoires qu'envoient leurs représentants (cf. certaines interventions lorgnant sans vergogne vers un Bayrou dans une logique de stratège perdant de 2012, quand le Modem reste sans conteste un parti de droite, vote avec elle au Parlement...) ne sauraient les présenter comme les défenseurs des salariés contre la casse sociale de ce pays.

Ils s'inscrivent pleinement dans le Manifesto, fini les oppositions internes sur le TCE« Les querelles institutionnelles ne sont plus de saison » écrivent-ils, et le traité de Lisbonne est considéré comme « une donnée » par un ancien partisan du Non, et le vote de ce traité à Versailles a été rendu possible grâce à l'accord ou à l'abstention de nombreux députés ou sénateurs socialistes, au mépris du vote du peuple français.Preuve en est, s'il en fallait, le meeting de lancement de la campagne du PS français à Toulouse où main dans la main, les ténors socialistes français, avaient invités toute la social démocratie d'Europe, autant celle qui gouverne avec la droite, que celle qui applique ses politiques. Logique quand on y pense, le texte d'orientation du PSE est aussi la base programmatique du PS...

Conseil Municipal Romainville, intervention de Sofia Dauvergne

Intervention de Sofia DAUVERGNE
Conseillère Municipale
Présidente du groupe des élus communistes

Conseil Municipal du mercredi 27 mai 2009

Délibération: Création d'une association de préfiguration -INTERCOMMUNALITE

Il est demandé ce soir au Conseil Municipal par un vote de décider de l'adhésion de notre ville à une association de préfiguration avec huit autres villes de notre département et affirmer ainsi notre volonté de s'engager dans un processus de coopération intercommunale.

Un débat qui en effet n'est pas nouveau au sein de notre conseil, puisque la 1ère fois que nous avons abordé la problématique d'une intercommunalité c'était en 2004 avec l'adhésion de notre ville à l'association de préfiguration d'une intercommunalité à 4.

Et oui, cette délibération a bien été adoptée et cela me permet de rétablir, une nouvelle fois la vérité. Je vous invite à relire attentivement les interventions de notre groupe sur ce sujet de 2004 et 2005.

Car en relisant la réponse de Monsieur Gulglielmi, à ma question orale sur l'intercommunalité, le 25 mars dernier, j'ai pu remarquer que peu de propos ont été consacrés à la réponse à ma question, mais beaucoup à des faits erronés et polémiques, et que sur ce terrain, c'est un exercice, comme vous avez pu le constater, que je me refuse à pratiquer avec vous, M. GUGLIELMI ou avec qui que ce soit.

Pour en revenir à notre ordre du jour, l'adhésion de la ville à l'association de préfiguration, l'approbation des statuts, la désignation de nos représentants, le montant de notre participation.
Nous ne pouvons que regretter, une nouvelle fois, le procédé et l'absence d'information, après avoir été la seule ville à ne pas convier ses conseillers municipaux à la conférence de presse du 10 avril annonçant la création de cette association, nous recevons le projet de délibération sans les documents obligatoires à la prise de décisions, c'est à dire le projet de statut et la déclaration commune.

Ce qui malheureusement, et une fois encore, nous oblige à reporter cette délibération au prochain conseil municipal du mois de juin.

Mais cela ne changera bien évidement pas notre conception et notre vote concernant la création éventuelle de l'association de préfiguration.

Nous rappelons que cette association ne doit pas constituer un acte d'engagement, (ce qui avait été le cas en 2004), ni une mise en œuvre effective de la communauté d'agglomération.

Mais c'est une mesure qui doit avoir pour objet de lancer des études, afin de confirmer la pertinence du territoire, ses atouts, ses évolutions, ses potentiels et il est même signifié dans la note de présentation qu'elle va permettre aux élus de réfléchir à la question de la gouvernance.

Et bien je souhaiterais rajouter pour ma part que cette démarche doit avoir avant tout comme objectif absolu, l'appropriation totale par les citoyens des enjeux et la place déterminante qu'il leur sera consacré.

Car à ce stade de l'élaboration, beaucoup de nos concitoyens ne mesurent pas l'importance vitale et structurante d'une telle décision.

Ils se posent des questions, sur la nécessité ou pas d'un échelon supplémentaire, va t-il réellement servir à la population et aux communes qui s'engagent dedans ? Quel projet va t'on prioriser et qui en décidera ?

Nous sommes persuadés que l'intercommunalité ne réglera pas les problèmes de fonds, emplois, logements, la santé... et la crise dans laquelle le capitalisme nous a plongés et que nous aurons à poursuivre nos batailles politiques pour construire une alternative de changement politique et démocratique dont notre pays a besoin.

Pour autant, avec le développement de la société, au moment où 93% du territoire fonctionne déjà en intercommunalité, dans notre département où nous comptons deux intercommunalités, Plaine Commune et la communauté de communes de l'aéroport du Bourget et où a été annoncée récemment la création d'une intercommunalité au Nord-Est, au moment où le gouvernement prive toujours plus les communes de moyens financiers et quand le Grand Paris se met en place, il n'est pas superflu de se poser la question d'une communauté d'agglomération solidaire, démocratique, forte, sur un projet partagé et décidé ensemble.

Et pour se donner toutes les chances de réussite, il faut bien entendu se poser la question du contenu des projets et du débat démocratique pour associer toute la population de notre ville et le personnel communal à la construction du projet communautaire.

Pour cela, je considère que le procédé de concertation proposé à Romainville, basé uniquement sur la seule modalité de concertation existante « les ateliers urbains », initiative trop souvent centralisée géographiquement et thématiquement, ne permet pas à la population de s'approprier les projets et leurs enjeux, et ne répond pas à l'exigence d'une dynamique associant l'ensemble de la population.

Notre souhait est de voir une véritable démocratie participative dotée de moyens importants donnant le pouvoir au citoyen, être mise en œuvre dans notre ville.

Encore mieux, nous serions les premiers à nous féliciter de la tenue d'un référendum local sur cette question, ce qui permettrait de mettre définitivement les Romainvillois au centre du débat.

Car les grands projets nécessitent d'être partagés et portés par les citoyens pour réussir, et non pas en les subordonnant à des structures ou des considérations étroites et politiciennes, qui éloignent un peu plus des lieux de décision.

La crise et la faillite du modèle libéral nous rappelle qu'on ne peut pas faire de la politique dans le dos des premiers concernés : les citoyens.

Pour les élus communistes la création de cette communauté d'agglomération peut constituer un acte démocratique pour renforcer les projets des villes et bâtir des partenariats nouveaux.
Et c'est parce que cette démarche semble être partagée que nous voterons favorablement la création de l'association de préfiguration.

lundi 25 mai 2009

Tract - ECOLOGIE : Un État des lieux qui pose de graves problèmes

Le réchauffement climatique dû à l’utilisation de combustibles fossiles pour l’énergie est un risque majeur. Les réponses des chefs d’État de l’Union européenne ne sont pas à la hauteur des défis.
Les propositions de réduction des gaz à effets de serre, sous la présidence Française, sont en deçà des préconisations de l’ONU.



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