« La haine », le billet de Maurice Ulrich dans l’Humanité de demain vendredi
« Pas de trêve pour la haine
». Dans un éditorial Nicolas Beytout le directeur du quotidien l’Opinion qui se
définit
lui-même comme libéral, s’insurge. Cette haine écrit-il, elle s’est déversée
par des dizaines et des dizaines de milliers de messages contre «les
milliardaires-qui-préfèrent-donner-pour-des vieilles-pierres-plutôt- que- pour-
les pauvres». Les tirets sont de son fait. «Pas de pause, poursuit-il, dans ce
combat viscéral contre les très riches Français (…) la jalousie ne fait jamais
relâche». Salauds de pauvres, un peu étonnés tout de même, voire sidérés de
voir que de telles sommes pouvaient être mises sur la table, comme un simple
jeton, par quelques grandes fortunes. Comment toutes celles et ceux qui,
bouleversés, étaient déjà résolus a verser leurs dix, cinquante ou cent euros
ne seraient pas, comment dire, un peu humiliés quand il semble si facile à
d’autres de parler en centaines de millions. Mais il s’agit de haine, il s’agit
de jalousie, d’un combat viscéral nous dit-on et pas seulement Nicolas
Beytout.…Qui est dans le mépris, où est la haine?
J'ajoute,
ce que je n'ai pas mis dans le billet pour éviter tout amalgame et tout excès
que ce thème de la Haine des riches n'est pas neuf. La formule a une
histoire.
Voici ce qu'écrivait un auteur qui au siècle dernier connut une certaine notoriété pour de multiples raisons autres que ses talents d'écrivain et d'aquarelliste.
" Le besoins de justice sociale qui sommeille toujours dans le cœur d'un Aryen, le Juif le l'excite habilement jusqu'à ce qu'il se transforme en haine contre ceux qui jouissent d'un sort plus heureux et il donne un aspect philosophique précis au combat livré contre les maux sociaux, il jette les bases de la doctrine marxiste". Cet auteur est Hitler, dans Mein Kampf. Il serait bon que ceux qui utilisent cette formule en toute méconnaissance - on l'espère - en soient informés!...
Voici ce qu'écrivait un auteur qui au siècle dernier connut une certaine notoriété pour de multiples raisons autres que ses talents d'écrivain et d'aquarelliste.
" Le besoins de justice sociale qui sommeille toujours dans le cœur d'un Aryen, le Juif le l'excite habilement jusqu'à ce qu'il se transforme en haine contre ceux qui jouissent d'un sort plus heureux et il donne un aspect philosophique précis au combat livré contre les maux sociaux, il jette les bases de la doctrine marxiste". Cet auteur est Hitler, dans Mein Kampf. Il serait bon que ceux qui utilisent cette formule en toute méconnaissance - on l'espère - en soient informés!...
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