Un million de soutiens pour un référendum sur l'avenir d'ADP : E. Macron doit tenir ses engagements !
Plus d'un million de soutiens ont
désormais été obtenus et validés par le Conseil constitutionnel en faveur de
l'organisation d'un référendum sur l'avenir d'Aéroports de Paris.
La proposition de Référendum
d'Initiative Partagée soutenue par 248 parlementaires, la mobilisation des
salariés d'ADP, de nombreuses organisations politiques, associatives et
syndicales, des élu-e-s locaux ont permis de rassembler autant de signatures.
De nombreux freins ont pourtant été mis en place par le gouvernement pour que le débat public autour de l'avenir d'ADP soit confisqué : aucun information, aucun débat public,
ADP est un Bien commun de la Nation et sa gestion doit faire l'objet d'un débat citoyen, nourri par les enjeux spécifiques posés en Ile-de-France pour l'emploi, l'aménagement du territoire et le climat. Sa privatisation irait à l'encontre de l'urgence climatique qui appelle à réduire les gaz à effets de serre, à réduire les nuisances et protéger les populations riveraines. Elle conditionnerait la gestion de l'entreprise aux exigences de rentabilité financière des actionnaires privés, alors que la puissance publique doit plus que jamais maîtriser la filière de l'aérien.
Le Président de la République s'est dit favorable le 25 avril dernier à l'abaissement à un million du seuil de soutiens recueillis pour l'organisation des référendums d'initiative partagée.
Il peut sans attendre passer de la parole aux actes ! Il a le pouvoir de convoquer un référendum sur l'avenir d'ADP et de créer les conditions pour que notre peuple puisse décider, au terme d'un vrai démocratique, du devenir d'un de ses fleurons économiques.
De nombreux freins ont pourtant été mis en place par le gouvernement pour que le débat public autour de l'avenir d'ADP soit confisqué : aucun information, aucun débat public,
ADP est un Bien commun de la Nation et sa gestion doit faire l'objet d'un débat citoyen, nourri par les enjeux spécifiques posés en Ile-de-France pour l'emploi, l'aménagement du territoire et le climat. Sa privatisation irait à l'encontre de l'urgence climatique qui appelle à réduire les gaz à effets de serre, à réduire les nuisances et protéger les populations riveraines. Elle conditionnerait la gestion de l'entreprise aux exigences de rentabilité financière des actionnaires privés, alors que la puissance publique doit plus que jamais maîtriser la filière de l'aérien.
Le Président de la République s'est dit favorable le 25 avril dernier à l'abaissement à un million du seuil de soutiens recueillis pour l'organisation des référendums d'initiative partagée.
Il peut sans attendre passer de la parole aux actes ! Il a le pouvoir de convoquer un référendum sur l'avenir d'ADP et de créer les conditions pour que notre peuple puisse décider, au terme d'un vrai démocratique, du devenir d'un de ses fleurons économiques.
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